La quasi jamais là Narcisse O'Nelly
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La quasi jamais là Narcisse O'Nelly
Nom: O'Nelly
Prénom: Narcisse
Age: Un 21 avril, dix sept années de cela...
Peuple: Survivant
Pouvoir: Elle a un odorat à présent presque surnaturel, qui lui permet de vivre un peu à la canine. Elle peut traquer les personnes qu'elle désire, ou deviner à peu près les sentiments grâce au mélange subtile des hormones, de l'adrénaline, du sang, et des sécrétions.
Personnalité: Narcisse a un caractère peu forgé, surtout en « mode urgence », comme elle le dit. Elle cherche surtout à survivre, et à bien survivre. Elle prends soin d'elle, car elle sait qu'un jour, elle devra abandonner le confort de sa solitude pour aller dans la civilisation. En fait, elle calcule tout afin de ne rien laisser au hasard, comblant ainsi ses faiblesses musculaires. En revanche, elle a la particularité de souvent se laisser dépérir, sans raison, avec pour seule explication « je suis fatiguée ». Elle adore manger, par contre, et s'amuse parfois à décorer son repas pendant une heure pour l'angloutir ensuite en une bouchée.
Description physique: Ses chveux de couleur blond cendré encadrent de manière follette un visage assez maigre, qui est lui bronzé par une vie passée sous les arbres à courir la plupart du temps. Elle est mince, mais dans le genre mou, car elle mange énormément aussi, et dort encore plus. Sa peau est à la fois claire et foncée, car elle paraît dorée à l'ombre mais blanche dès qu'il y a un peu de lumière. Elle n'a rien de particulier, mis à part une belle cicatrice à la clavicule et une tendance à boiter lorsqu'il fait froid.
Histoire: Je viens d'une famille toute simple, qui faisait confiance à leurs enfants. Moi, je commençai à fréquenter Lana dès mes 7 ans, donc ses cinq ans à elle. N'allant pas souvent à l'école – elle parce qu'elle savait déjà presque tout, moi car je voulais tout faire comme elle – nous traînions dans les aires de jeux, les bibliothèques, les magasins et parfois même nous restions tranquilles à la maison, sous le nez de nos parents trop confiants. Nous étions cousines.
Nous allions parfois dans des cours de boxe thaïlandaise, pour nous amuser et pour nous dépenser un peu. Mais d'autre fois, elle me faisait faux bond pour aller avec son frère. Je crevais de jalousie. Mais la dernière fois que je la vis, le jour fameux que tout le monde surestime ou fuit, nous étions rien que toutes les deux, dans un train, à voleter gentiment vers la maison après une petite matinée à courir dans les champs. Je n'avais pas remarqué le météore, juste un petit tremblement. Lana, si. Elle s'était arrêtée, et avait demandé si je la réanimerais si elle s'évanouissait maintenant. J'avais répondu que si.
Elle me répondit de ne pas le faire si elle s'évanouissait dans les deux minutes qui suivait. Puis, elle m'avait balancée dans les escaliers pour aller dans la gare. Je l'ai vue s'embraser sous mes propres yeux.
Après une brève perte de conscience, je me relevai, avec un simple poignet foulé. Je vis un adulte muter. Il devenait petit à petit poilu et énorme. C'était un agent de la sécurité ferroviaire, censé nous protéger. Il m'attaqua, moi et quelques enfants à côté. Nous étions encerclés, quand je vis une fille exploser, comme si elle brûlait elle aussi. Elle cria un peu, mais ne sembla pas finir en cendre. Mais elle courut vers un des monstres, qui s'en alla, beuglant au feu. Les autres sautèrent sur elle, mais brulèrent aussi sec.
J'en profitai pour sortir de la gare. Je vis encore plus de monstres dehors, où je zigzagai pour les éviter. Au port, je vis quelques imbéciles prenant la mer. Ils me forcèrent presque à monter, pour aller sur le continent.
Quelques mois plus tard, je me rendis compte que je fermais les yeux tout le temps, sans jamais regarder qui venait me voir. Je percevais l'identité de mon interlocuteur grace à mon nez. Je percevais aussi ses sentiments, et je pouvais deviner dix minutes au moins à l'avance l'arrivée des monstres. Je servais de sentinelle. Mais je préférais rester en ermite, à me nourrir toute seule dans la forêt de Val'Dekann, ignorant pratiquement la guerre, où je ne cherchai qu'à me protéger, cachée.
Je venais parfois au front lorsque les vivres venaient à manquer et que je venais en chercher parmis les « civilisés ». Je revenais ensuite chez moi, dans ma forêt, évitant les contacts.
Aujourd'hui encore, je vis ainsi. Mais je ne suis jamais allée à la Citadelle.
Signe(s) particulier(s): Elle paraît un peu anormale dans son comportement car elle passe son temps seule, mais elle se tient bien. Son ermitage peut passer inaperçu.
Prénom: Narcisse
Age: Un 21 avril, dix sept années de cela...
Peuple: Survivant
Pouvoir: Elle a un odorat à présent presque surnaturel, qui lui permet de vivre un peu à la canine. Elle peut traquer les personnes qu'elle désire, ou deviner à peu près les sentiments grâce au mélange subtile des hormones, de l'adrénaline, du sang, et des sécrétions.
Personnalité: Narcisse a un caractère peu forgé, surtout en « mode urgence », comme elle le dit. Elle cherche surtout à survivre, et à bien survivre. Elle prends soin d'elle, car elle sait qu'un jour, elle devra abandonner le confort de sa solitude pour aller dans la civilisation. En fait, elle calcule tout afin de ne rien laisser au hasard, comblant ainsi ses faiblesses musculaires. En revanche, elle a la particularité de souvent se laisser dépérir, sans raison, avec pour seule explication « je suis fatiguée ». Elle adore manger, par contre, et s'amuse parfois à décorer son repas pendant une heure pour l'angloutir ensuite en une bouchée.
Description physique: Ses chveux de couleur blond cendré encadrent de manière follette un visage assez maigre, qui est lui bronzé par une vie passée sous les arbres à courir la plupart du temps. Elle est mince, mais dans le genre mou, car elle mange énormément aussi, et dort encore plus. Sa peau est à la fois claire et foncée, car elle paraît dorée à l'ombre mais blanche dès qu'il y a un peu de lumière. Elle n'a rien de particulier, mis à part une belle cicatrice à la clavicule et une tendance à boiter lorsqu'il fait froid.
Histoire: Je viens d'une famille toute simple, qui faisait confiance à leurs enfants. Moi, je commençai à fréquenter Lana dès mes 7 ans, donc ses cinq ans à elle. N'allant pas souvent à l'école – elle parce qu'elle savait déjà presque tout, moi car je voulais tout faire comme elle – nous traînions dans les aires de jeux, les bibliothèques, les magasins et parfois même nous restions tranquilles à la maison, sous le nez de nos parents trop confiants. Nous étions cousines.
Nous allions parfois dans des cours de boxe thaïlandaise, pour nous amuser et pour nous dépenser un peu. Mais d'autre fois, elle me faisait faux bond pour aller avec son frère. Je crevais de jalousie. Mais la dernière fois que je la vis, le jour fameux que tout le monde surestime ou fuit, nous étions rien que toutes les deux, dans un train, à voleter gentiment vers la maison après une petite matinée à courir dans les champs. Je n'avais pas remarqué le météore, juste un petit tremblement. Lana, si. Elle s'était arrêtée, et avait demandé si je la réanimerais si elle s'évanouissait maintenant. J'avais répondu que si.
Elle me répondit de ne pas le faire si elle s'évanouissait dans les deux minutes qui suivait. Puis, elle m'avait balancée dans les escaliers pour aller dans la gare. Je l'ai vue s'embraser sous mes propres yeux.
Après une brève perte de conscience, je me relevai, avec un simple poignet foulé. Je vis un adulte muter. Il devenait petit à petit poilu et énorme. C'était un agent de la sécurité ferroviaire, censé nous protéger. Il m'attaqua, moi et quelques enfants à côté. Nous étions encerclés, quand je vis une fille exploser, comme si elle brûlait elle aussi. Elle cria un peu, mais ne sembla pas finir en cendre. Mais elle courut vers un des monstres, qui s'en alla, beuglant au feu. Les autres sautèrent sur elle, mais brulèrent aussi sec.
J'en profitai pour sortir de la gare. Je vis encore plus de monstres dehors, où je zigzagai pour les éviter. Au port, je vis quelques imbéciles prenant la mer. Ils me forcèrent presque à monter, pour aller sur le continent.
Quelques mois plus tard, je me rendis compte que je fermais les yeux tout le temps, sans jamais regarder qui venait me voir. Je percevais l'identité de mon interlocuteur grace à mon nez. Je percevais aussi ses sentiments, et je pouvais deviner dix minutes au moins à l'avance l'arrivée des monstres. Je servais de sentinelle. Mais je préférais rester en ermite, à me nourrir toute seule dans la forêt de Val'Dekann, ignorant pratiquement la guerre, où je ne cherchai qu'à me protéger, cachée.
Je venais parfois au front lorsque les vivres venaient à manquer et que je venais en chercher parmis les « civilisés ». Je revenais ensuite chez moi, dans ma forêt, évitant les contacts.
Aujourd'hui encore, je vis ainsi. Mais je ne suis jamais allée à la Citadelle.
Signe(s) particulier(s): Elle paraît un peu anormale dans son comportement car elle passe son temps seule, mais elle se tient bien. Son ermitage peut passer inaperçu.
Re: La quasi jamais là Narcisse O'Nelly
Heureuse de t'accueillir, évidemment fiche validée. Bon jeu ! Espérons que ton inscription ranime un peu la torpeur installée depuis les examens...
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